CARNET DE VOYAGE – CUBA : « Désolée, j’avais pas Internet »

Il est 1h40. Mon vol retour pour le Mexique est dans exactement 12 heures. Dans 72, je serai de nouveau en France (non je ne pleurerai pas tout de suite, laissez-moi le temps d’atterrir). Un récap s’impose. Cuba ? Oui Cuba. Et bien Cuba… Bon : tout le monde va me demander comment était Cuba. C’est normal, ça fait deux semaines que je n’ai pas donné signe de vie et Cuba, ça intrigue un peu (attention, dans les carnets de voyage à venir, le mot Cuba sera utilisé à outrance. C’est pour me rappeler qu’un jour j’y étais, et qu’il y faisait beau. Si vous ne supportez pas ces deux syllabes, abandonnez tout de suite). Je disais donc que ça faisait deux semaines que je n’avais pas donné signe de vie. Et si on commençait par ça d’ailleurs. Un bon sujet (HashtagOuPas).

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Travelogue – What San Diego ‘Museum of Man’ taught me about Torture

Ok, so this is not really a « travelogue » piece, but it has to do with my journey to Mexico, so let’s keep the title that way. Every tourist who went to San Diego will tell you the very same thing: you have to go to the Balboa Park. Apart from many palmtrees, some Japanese weird fish, two or three turtles and lots of birds (and green, green everywhere), you will find all the museums you need to see. Most of them close around 4 or 5 pm. The only one that stays open later is the Museum of Man, so I went for it… and I must say: no regrets. For 20 bucks, you get to see the museum (check out that Beerology part!) and the exhibition called « Instruments of Torture ». That’s the one I wanted to talk to you about. Because it actually shows more than some random ancient instruments of torture. It makes you think about it. Here’s an overview.

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Carnet de voyage – Le jour où j’ai utilisé mes pieds à Hollywood

Hollywood Boulevard. Top ten des résultats de recherche dans la catégorie des « trucs à faire à Los Angeles » lorsqu’on interroge notre cher ami Google. J’ai donc, en touriste qui se respecte (ou pas), décidé de passer une partie de mon premier jour dans ce lieu mythique du cinéma ricain, puis de marcher où le vent me mènerait. Si le titre de ce billet vous parait un peu banal, vous comprendrez très vite que ça ne l’est pas tant que ça. Enfin… il parait.

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