Portrait réalisé dans le cadre du MOOC de Rue89 sur l’écriture et la production vidéo pour le Web. Ce reportage a reçu le prix Rue89-RSF de la meilleure réalisation
[Multimedia] HÉRAUTS DE L’INFO – Rencontre avec Philippe PUJOL

Reportages, longs-formats, interviews et interventions en directs
Portrait réalisé dans le cadre du MOOC de Rue89 sur l’écriture et la production vidéo pour le Web. Ce reportage a reçu le prix Rue89-RSF de la meilleure réalisation
Alors qu’il partait à égalité avec ses rivales Barcelone et Gênes, le port de Marseille a perdu le tiers de sa part de marché en termes de trafic global depuis 1990. Mais la crise du Port de Marseille semble avoir pris fin en ce début d’année 2013, un an après la mise en application d’une réforme globale des ports français et l’arrêt des conflits sociaux qui freinaient la compétitivité du port phocéen.
Guillaume Alméras est le directeur d’un ouvrage économique et social très actuel : « L’Europe méditerranéenne en crise », paru en avril 2012. Au sommaire notamment de ce numéro 80 de la revue Confluences Méditerranée : les impacts de la crise économique sur les pays d’Europe du Sud ; une compréhension de la crise espagnole ; l’Italie et sa rigueur. Il a accepté de revenir avec nous sur la crise en Europe méditerranéenne, avec un zoom sur les régions du sud de la France et du nord de l’Italie et de l’Espagne.
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« Voyage en éphémère » publie mes photos de Marseille chaque jour sur son blog de street art. Sous le nom :
N’hésitez pas à faire un tour sur http://voyageenephemere.wordpress.com pour découvrir des prises de vue d’art de rue à travers le monde!
Originaire du Havre, l’artiste qui vit désormais à La Réunion s’est fait connaître grâce au Gouzou, un personnage qu’il a lui-même créé et que l’on retrouve un peu partout dans le monde depuis 1996. Ce petit bonhomme malicieux qui a fait le tour du globe (Maurice, Paris, Le Havre, Tokyo, Rome, Prague…et bien d’autres villes) a décidé de poser ses valises à Marseille, le temps de la Fiesta des Suds.
Derrière une actualité frissonnante, où violence, corruption, drogue et règlements de compte semblent refléter le quotidien marseillais, la cité phocéenne a bien d’autres choses à offrir.
Lundi matin se tenait le conseil municipal de Marseille, où ses membres se réunissaient pour la cinquième fois cette année, afin de « régler les affaires de la commune » (‘débattre de’ serait plus adéquat). Au milieu des quatre heures de tergiversations sur trois-cents délibérations – certaines plus assommantes que d’autres – un plaidoyer a particulièrement retenu l’attention de l’assemblée, moi incluse.